Dans un village campagnard loin des grandes agitations de résonne un chant langoureux d’une femme qui exprime sa douleur elle est condamnée. Les personnes qui l’entour tentent de l’aider mais elle est enfermée dans cette peine insupportable. L’aide de son entourage, leurs paroles résonnent comme de lointain échos, des murmures à peine perspectible, elle ne les voient pas.
Elle tente d’écouter, de suivre en vain les conseils, les murmures qu’elle entend au loin mais elle est condamnée à la perte de ce qui lui est le plus cher : la vie, la raison, l’amour, sa descendance… Cette femme avance seule et chante sa douleur.
Elle avance avec difficulté les chaînes à ses pieds, à ses mains et à son cou tirant des boules de métal qui, assemblés ensemble représentent toutes ses douleurs du passé et du présent, plus elle avance plus il y en a. Elle à beau crier à ses démons qu’ils s’en aillent mais ils lui ricanent au nez fort amusés par la situation.
Son âme, son corps devient de plus en plus fragile … Lorsque ses cheveux se font blanc le chant des moines s’ajoute à la chanson langoureuse sa fin approche, elle le sent. De ce moment là les lieux de la scène semblent se préciser au sain de ce village.
De la pénombre une lumière jaillit ont commence à voir les contours d’un grand couloir semblable à ceux que le trouve dans les abbayes baroques. Les piliers soutiennent le plafond son épais, les moines y sont adossés vêtu d’une aube blanche et noir le visage caché sous leurs capuches, ils montrent le chemin. Au bout de ce couloir une porte en chêne se tient. Après tous ce quelle a traversée tout au long de son chemin de vie la femme est Arrivée face à cette porte. Par ce long trajet, elle devenue si vieille…Arrivée devant elle utilise ses dernières forces pour ouvrir la porte. La lumière l’engloutit le chant se tu « c’est finit elle est morte ».
Son âme s’élève dans le ciel, elle a enfin trouvé la paix et l’harmonie tant recherché.

le destin d'une femme

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