la plume rebelle

Fatiguée de ma journée le sommeil me gagna en compagnie de mon chat qui avait prit pour habitude de prendre place à mes côtés quand mon copain n’était pas là. 

Le vent soufflant dehors avec les fenêtres ouvertes en cette nuit chaude d’été rendait la nuit agréable. On dit que les rêves s’inspirent de vos émotions, votre imaginaire et d’une part de la réalité en lien avec la journée passée. Ces éléments réunit rendent  le rêve palpitant et avec plein de rebondissement. 

« Mon rêve m’emmena à Valmenier dans les Alpes de la Maurienne en pleine période des vacances pour le ski. C’est une des périodes où un grand nombre de personnes viennent de tous les horizons arrivent dans la station. La journée c’est les pistes de ski et le soir c’est la fête en bas des télésièges.  Nous aimons venir avec la famille en cette période là  à Valmenier. Nous possédons un appartement de famille. Cette année ma cousine Anna et mon Copain Blaise étaient de la partie remplaçant mon frère et une de mes sœurs en vacance en Russie avec leurs amis. Blaise s’améliorait de jour en jour. Il n’avait jamais fais de ski avant. Ont s’amusaient comme des petits fous.

Je ne sais pas comment, mais Anna trouvait encore suffisamment d’énergie pour aller faire la fête de temps en temps le soir après avoir skiée toute la journée ! Comme c’était le cas en cette soirée du 20 février 2018.  Elle nous avait promis de renter au plus tard à minuit. Or, en regardant la météo, une tempête de neige s’annonçait pour ce soir.  À cette annonce, l’inquiétude se pointa sur nos visages. Anna était dehors et le vent commençait déjà à souffler avec fureur.

Je me lève pour la prévenir par téléphone mais je tombais sans cesse sur son répondeur.

                  -  Il faut aller la chercher, dis-je

Blaise déjà chaussé se proposa comme volontaire et sans plus attendre il sortit de l’appartement.  Je me mis à faire les cents pas incapable de rester assise et attendre sagement que Blaise ramène Anna de la fête alors que le vent soufflait de plus en plus fort avec de la neige commençait à virevolter dans les airs formant des petites tornades. Le silence c’était abattu dans l’appartement. Ont entendaient plus que le bruit du vent semblable à des cris de fantôme dans cette nuit noire parmi les minis tornades de neige. Plus le temps passait et plus les tornades de neige grandissaient et le vent gagnait en puissance.

Pour essayer de changer nos idées, maman proposa de faire un temps tisane pour tous.  Je devais m’y résoudre à ne pas rejoindre Blaise et Anna face à cette tempête grandissante. Qui sait se qui peut arriver ?

Dans cette attente interminable, je ne pouvais m’empêcher de me questionner : Et si Anna et Blaise me la faisait à l’envers ou juste Blaise ? Depuis quelques temps je sens Blaise préoccupé un peu distant… 

Je secoue le tête  ‘’non, non tu te fais des idées. Tu laisse  le doute  et la peur t’embrouiller l’esprit » pensais je. Je regarde l’horloge et soupir.

Le temps semblait long, les minutes à mes yeux devenaient des heures quand soudain à 23H30 la porte de l’appartement s’ouvrit brusquement.  J’accoure pour voir Anna chancelante tenant un Blaise dans état pitoyable sentant l’alcool à plein nez. A mon avis il n’avait pas bu qu’un verre et déjà cela me déplaisait.

-        Viens allongeons le sur le canapé dis-je à Anna en l’aidant à porter Corentin.

Une fois allongé Blaise s’endormit aussitôt. Ses traits de visage détendu et à le regarder on aurait dit un ange tombé du ciel. Difficile  de pas craquer devant un visage si beau ! Cependant la réalité de la situation nous revint très vite à la mémoire. Des explications autour de cette fameuse soirée devaient avoir lieu.

-        Tisane Anna ? demanda Maman

-        Oui pourquoi pas, dit elle avec un magnifique sourire

Une fois installés un petit silence s’installa.  Anna ne semblait contrairement à Blaise que pompette et frigorifié. Elle évitait mon regard. C’était sur quelle me cachait quelque chose mais quoi ? Serais ce de la paranoïa de ma part ou y a t il vraiment quelque chose derrière ?

                  - Comment s’est passée ta soirée ? Finis-je par lâcher.

Anna  prit le temps de boire une gorgée de tisane avant de se lancer dans une grande explication autour de cette fameuse soirée.

-        Comme toute  fête…. (Voyant me regard septique elle poursuit) enfin je veux dire musique, alcool, cigarette…drogue douce. On parle, on danse, on drague…

-        Vient au fait s’il te plaît, m’impatientais –je

-        J’étais prise dans la fête  comme beaucoup. J’avais besoin de m’amuser. Et quand on parle de s’amuser il faut ajouter quelques verres d’alcool sinon ce n’est pas marrant ! Prise dans la fête comme pour beaucoup nous nous moquions bien de cette tempête qui devait arriver dans  la soirée. Je dois avouer qu’après quelques verres j’ai du danser et filtrer avec quelques garçons. Blaise a finit par me rejoindre après quelques minutes de recherche avec une détermination de me ramener à la maison. Je ne voulais pas  … mes souvenirs sont un peu flou mais il me semble que Blaise ait bu un verre de sirop avec 0,18gr d’une drogue douce glissée par un  garçon. Suite à ce Blaise c’est mit a danser avec des filles et des garçons. J’avais l’impression d’avoir face à moi un autre blaise qui parler sans fin, qui dansait et buvait. Je trouvais ça drôle pendant un moment mais  au bout de quelques temps les effets d’alcool s’atténuant et la tempête arrivant à grand pas …je ne sais plus comment mais on est rentrés. Le reste  de  l’histoire tu connais.

Le silence accueillit le récit de Anna. La bombe venait d’être annoncé par Anna. Mes doutes et mes peurs concernant Blaises, les filles et mon couple semblaient se confirmer.

J’avais l’impression d’avoir été trompée et que le monde s’effondrait tout autour de moi. Blaise aurait il vraiment commit l’irréparable ? L’imaginer danser coller serrer avec des filles, fleuretant avec, buvant à tout va sans penser une seule seconde à moi m’horripilais.

Tous les bons moments passé avec lui semblaient s’éloigner peu à peu jusqu'à ne plus exister au sein de ma mémoire et ne retenir que les moments où l’on se disputait, où je lui reprochais des choses où mes doutes et ma jalousie ne faisait que parler à son égard. La douleur … cette douleur grandissante à cette annonce de « tromperie » par Anna était plus que douloureuse. J’avais mal de partout et mon petit diable mentale semblait prendre un plaisir incroyable de torturer mon esprit, mon petit cœur, mes émotions..

                  - Tu mens Anna, ce n’est pas possible …Il na pas pu me faire ça… il a dut être              encouragé… ce n’est pas possible…. Murmurais-je 

J’avais l’impression de mourir petit  à petit. Blaise était tout pour moi. Mon pilier, mon meilleur ami, mon frère, mon frère, celui qui me donnais la force de continuer, la force de me battre ou encore la force d’évoluer. Et pourtant je sais qu’Anna ne mentait jamais surtout quand elle avait but.

Anna ne me regardais plus, elle était devenue blanche comme de la neige tremblant de toute part alors que le chauffage de l’appartement fonctionnait à pleine puissance. Mon regard s’attardant sur elle  c’est une grande colère qui se réveilla en moi tel un volcan en éruption. Une colère aveugle qui avait prit le dessus. Elle était coupable ! Je préférais cette version qu’accepter la vérité sur le fait que Blaise m’aurait peut être trompé ouvertement !

Le bruit de la tempête semblait avoir disparut tout autour de moi sauf Anna. Il n’y avait plus qu’elle et moi. Ma respiration c’était accélérée  comme un taureau sur le point de charger. Le cœur s’est mit à battre de plus en plus fort comme des tambour qui sonne l’entrée en guerre, les veines gonflées à bloque. Blaise se réveilla brusquement au bruit du verre brisé sous mes mains. Je ne me suis pas rendu compte que je m’étais levé. Anna tremblait de peur  tentait de me dire quelque chose que je n’entendis pas. Je me mis à crier  ma colère…. »

Je me réveille en criant le 18  juillet 2019 à 9h du matin toute transpirante sous le regard de mon chat perché sur l’armoire.  Je mis quelques temps pour réaliser que tout cela n’était qu’un rêve…

Quelques notes de piano pour me remonter le moral rien n’y fait. Mon esprit et mon cœur sont ailleurs. Les jours passent, les cours aussi et  la nuit et le jour se précèdent. Mes amis et ma famille s’animent autour de moi, tentent d’attirer mon attention, de me faire réagir…..Mais rien n’y fait,  je suis comme une coquille vide à qui on a arraché son âme, l’élément qui avait permis de redonner sens et goût à sa vie.

En effet Blaise est parti loin de moi  en allant de l’autre côté de l’océan Atlantique. Il m’avait parlé d’un projet, d’une mission de deux semaines propre à ses croyances. Il avait longuement hésité à partir pour des raisons de logistiques propre à ses études mais aussi par ce que cela avait un coût et qu’il ne voulait pas me laisser derrière.  Ne voulant que son bonheur je l’ai poussé à y aller car il pouvait se le permettre. Mais il devait partir car il avait besoin de lâcher prise par rapport à tout ces derniers évènements remplie de tension et de stresse. Ce voyage était l’occasion de penser un peu à lui, son bien être. Il a tendance souvent à s’oublier et s’occuper plus des autres que de lui –même.

En partant un soir d’été, il me promit de m’envoyer régulièrement des messages. Malgré le fait d’être très pris par les évènements, il réussi à m’envoyer quelques messages et des photos en plus de celles que je récupérais sur les réseaux et des témoignages retranscrit par les médias.  J’étais heureuse pour lui, il avait l’aire épanouie, joyeux, très complice avec des filles et des garçons et très proche avec eux.  A observer ces photos je ne pouvais m’empêcher de dire que les filles étaient bien foutues, plus belle que moi et plein de qualité que je n’ai pas.

Ses brefs messages me montre qu’il pense à moi et tiens à moi mais la jalousie se déchirement que je ressens au plus profond de moi me cris : ce n’est pas suffisant !

 Je veux être avec lui  m’éclater avec lui montrer qu’il peut être heureux avec moi que notre amour n’est pas conflit, haine, jalousie, silence, ne rien faire comme ces derniers jours. J’ai surtout envie de dégommer ces putes et de dire que c’est mon mec et qu’elles ne doivent pas s’approcher de lui. Mais en même temps il semble bien plus heureux avec elles. C ‘est que je ne le mérite pas sans aucun doute que je me suis trompée, que j’ai trop attendu de lui ou étais une vrai grâce avec lui.

Ah ! Quel âme tourmenté !  Je me fais des films à me tourmenter le cœur et l’esprit à en mal dormir la nuit. Il me manque j’ai l’impression d’avoir perdue quelque chose de très précieux. Parfois j’entends cette petite voix dans un coin de ma tête me dire « mais regarde il t’envoi des messages il pense à toi, tu vas le revoir bientôt ce n’est pas la première fois que vous vous voyez pas pendant quelques temps ! ». Mais je chassais à chaque fois cette pensée  car cette fois ci c’était différent : il est encore plus loin et il y a le décalage horaire  et il y a ces photos ces échos que j’entends. J’ai  l’impression de n’avoir qu’une image négative de moi même et j’ai l’impression de ne pas le mériter.

Je crois qu’il n’y a pas de plus fortes émotions que celle de la peur, de la jalousie, du sentiment d’abandon, de la colère, de la tristesse, perte de confiance en soi, le stresse…

Elles envahissent ton cœur, ton esprit  et joue avec ce que tu peux percevoir de la réalité. Tu rentres comme dans un état second avec une grande mélancolie. Tu ne jures que partent ses émotions.

Les décors des paysages, les mises en scène des personnes qui t’entour ont perdu de leurs couleurs, les aliments ont perdu de leurs saveurs ou sont devenue amer. Tu te mets à écouter ce refrain sans fin et tu te laisses couler vers le fond.

Le monde tente de t’aider en vain. De l’autre côté certains se déchire de plus en plus avec toi ne comprenant pas ton comportement essayant de te faire réagir  ou te laisse à ton compte alors que tu leurs lance des cris d’alarme.

Quand est ce que ce manège va t il cesser ? la réponse on la connais tous bien : quand tu en aura décidé à commencer par te reprendre en main avant de te tourner vers les personnes qui pourraient t’aider et même t’appuyer sur les personnes qui apporterons dans ton cœur la lumière, l’amour, la joie, le goût de vivre.

Une des phrases qui revenait souvent « tu es indépendante de lui ma chérie. Jusqu'à  l’année dernière tu as su te construire sans lui, te débrouiller seule, vivre des moments épiques, avoir de belles amitiés alors pourquoi son départ bref ou définitif doit il t’empêcher de vivre ?  Il est prit par cette événement fait lui confiance il te reviendra et si non ne vois pas ta relation comme un échec c’est que ce n’était pas le bon. Peut être que ton véritable prince charmant t’attend autre part » Mais je ne voulais rien entendre avant d’admettre après un long moment que je suis capable de vivre sans lui et d’être sans lui.

Mais mes émotions fortes qui me déchirent l’âme montre que je l’aime plus que tout au monde malgré nos disputes et nos histoires. C’est la première personne qui m’aime comme je suis (hors amitié), il a plein de qualité, de joie de vivre et de belles émotions qu’il a tendance à bien cacher et garder pour lui ou pour ses amis mais quand il  laisse les s'exprimer en ma présence c’est un véritable délice un paradis sur terre. Je l’aime et il me manque énormément !

Mais mes amies et famille ont raison : je dois prendre ma vie en main, réussir  mes études, profiter de tout les bons moments à saisir, lâcher prise et vivre la vie à fond.

Je regarde l’avenir qui me tend les bras. A force de lutter je vais certainement finir  par retrouver la lumière.

Seul l’avenir dira ce qu’il adviendra de lui et de moi et que peut être mes craintes s’avérons juste ou fausse.

La vie continues, le temps défile et n’attends pas que nous réglons nos problèmes avant de remettre  « jouer ». On doit faire avec.

En partant là-bas je t’ai laissé libre.

Je voulais que tu prennes le temps de vivre.

De vivre le bonheur, de lâcher prise et de te reconstruire.

Il est important de prendre du temps pour soi,

D’accéder au bien être en laissant les problèmes et angoisses derrière soi.

Par les photos et les témoignages que je reçois,

Je vois que tu respires la joie ! Je suis heureuse pour toi !

Je retrouve l’homme que j’ai croisé plein d’énergie et de vivre !

Tu as fais de belles rencontre féminine et masculine et tu vie de belles expériences que les photos montrent !

A observer cela et à écouter les témoignages des médias et autre, il est clair que tu n’es pas prêt à vouloir partir de plein gré !

Tu ne sembles pas prêt à rentrer !

De l’autre côté de la mer.

Je suis assise cher moi et je désespère.

En te laissant partir vers se pays lointain libre,

C’est un coup de poignard que j’ai eus à vivre.

Je te vois sous le soleil moi je suis sous la pluie.

Sans toi je me sens soudainement envahie par cette sensation de vide et je suis peu épanouie.

Les émotions fortes de la vie dans les moments de relâchement vienne m’envahir et me ronger à l’infinie.

La jalousie face à ces photos de toi et de ces filles, me laisse à des histoires sans fin dans ma tête défilant comme des séries.

Je me sens vide comme une coquille et j’ai l’impression de perdre l’équilibre comme cette quille qui ne tient qu’a un fil.

Privé de ton attention  et de ton amour la flamme qui pétille lutte contre le vent  de monsieur « devil ».

Tu es partie et je tai laissé faire ta vie là bas dans ce pays.

Une amie me voyant ainsi me dit que si l’homme que j’aimais tenait à moi il reviendra pour moi.

Voyant mon désarroi elle lance « suis moi je te fuis, je te fuis du me suis » avec une conviction de fer.

Une philosophie qu’elle s’empresse à m’expliquer d’une voix convaincante et sincère.

Elle me redonne un peu d’optimisme et poursuit d’une voix convaincu de tout ses idéalismes:

«  Il faut profiter de la vie être indépendant avec charisme. L’homme qu’on aime donne sens à notre vie. Mais cela ne doit pas être notre unique philosophie. Il faut être libre de vaquer  entre amitié, la solitude, l’amour car tel est la vie.

Etre sensible et demander beaucoup d’attention est un fait.

L’homme est fait pour être entouré d’amour et d’amitié. »

Suite à cet échange, je m’assois et patiente pour le retour de mon bien aimé.

Il me manque beaucoup et je n’ai qu’une hâte : c’est de le retrouver !

« Ne pas désespérer et garder la foi » me dis je tout bas.

J’ajoute encore : « et si je me suis trompée sur lui ce n’est pas grave il y aura une prochaine fois avec un homme digne de moi ! »

Le jour arriva et tu es revenue avec une surprise au quel je  ne m’y attendais pas.

Une surprise remplie d’émotions fortes et une fin renversante.

A vous chez lecteur d’en deviner la fin quelle soi positive ou négative elle est bouleversante !

Je crois que nous sommes tous au courant des dernières manifestations qui ont lieux ces dernier jour... Mais me voilà à la porte du monde professionnel et le dégout au sujet de l'argent ne fais que croitre. L'homme accorde beaucoup de valeur à ce concept de l'argent mais pas que ! Cela nous amène à avoir certains comportement et a avoir une certaine pensée.

Ne jugez pas trop durement ce simple cri de colère. Une colère qui a dut certainement vous traverser un jour l'esprit avant de vous dire : c'est la vie, on a pas le choix, on ne peut faire autrement ou quelque chose d'autre de ce style car que l'on veuille où non c'est la société qui nous l'impose où que nous allions.

alors voilà ce petit billet de colère:

L'argent voilà un mot, une matière, une valeur qui a conrromput l'esprit de l'homme depuis des siècles! Certains ont essayer de lutter contre tous ce que l'argent peut représenté par le troc avant de succombé eux aussi peu à peu dans l'usage monétaire. l'argent est un des éléments qui fait fonctionner la société qui lui donnerais quelque part du sens.

L'argent à un côté vicieux. Certaines personnes en ont une soif de pouvoir et d'autre une peur. L'argent aide à définir si tu vas ten sortir dans la société ou pas et te laisser une certaine liberté de faire certaines choses grace à elle. On a besoin de cet argent pour se payer a manger,vêtement, logement et nos soins et loisirs. Certains dans le monde ont moins de chance que d'autre car parfois le pouvoir les réduit à néant malgré une solidarité et des gestes humanitaires qui lutte contre certaines de ces injustices!

on peu essayer de trouver le mot équitter dans l'argent mais pas autre chose comme égalité ou justice!

Toute choses à un coup qu'on le veuille ou non. Nous finissons tous par attraper cette maladie de regarder notre compte en banque régulièrement de peur de manquer et de ne pouvoir faire ce que l'on veut.L'argent ne fait pas le bonheur : cette phrase nous la connaissons tous et pourtant on a besoin de cet argent pour accéder à un certains bonheur seul l'amour et la vie ne s'achète pas en temps que tel. Une vie et un amour ne devrait pas avoir de prix!

L'argent créé des écarts social et en même temps peuvent de solidarité.

l'argent c'est le diable en prada. Ce billet n'est pas propre a un parti politique mais une pensée commune qui un jour à traversé mon esprit.

Partagée entre le flot de tristesse et de joie

Les émotions dans le cerveau sont reines.

Il est important de faire de son mieux.

Je vous parle beaucoup des infrastructures  de l’alimentation, du climat, de l’économie… mais j’oublie de vous parler des enfants, des religions et de la langue !

En bref, plus vous aller dans le nord, plus la religion Musulmane est présente. Plus vous allez dans le sud plus la religion Catholique est présente. Cela peut sembler logique quand on sait que les pays voisins du Bénin sont aussi majoritairement musulman. Catholique peut par hypothèse être reliée aux anciennes colonies françaises présentes jusqu'en 1960. La différence de religion n’empêche aucunement la cohabitation de l’une et de l’autre. Un pays qui aujourd'hui contient 48% de Catholique, 15% de Musulman mais il existe aussi des sectes qui demandent souvent de l'argent aux familles pour venir participer à un évènement.  Une forme d’harmonie perdure entre chacun.

On dit que le Bénin n’est pas un pays en guerre même si des trafics d’armes peuvent se faire aux frontières. Comment les armes sont passées aux frontières et traverse le pays ? Dans des cercueils.

Ce qui peu unifier tout le pays ?

Bien des choses ! Dont notamment la langue Française qui reste la langue politique et  elle est aussi utilisée à travers le pays, apprise à l’école comme au Togo et au Burkina Faso. L’inde est aussi un autre exemple mais où cette fois-ci c’est l’anglais.  Dans chacun de ces pays il existe 38 a 100 dialectes pour la plus part reconnu par l’état. Des langues qui résonnent pour certaines en cœurs avec des groupes ethniques. Au Bénin, il existe 38 langues reconnues répartir sur les 6 régions du pays.

Qu’en est il des enfants, de la famille et de l’école ?

Les enfants, c’est le principal intérêt de mon voyage. J’en est croisé beaucoup pour diverses occasions. La première est celle du scoutisme et la deuxième à l’occasion d’une journée paroissiale organisée. Ils ont une certaine joie de vivre, une curiosité et énergie incroyable ! Au début, lorsque je leurs demandé par simple curiosité combien ils étaient par famille .....ce fut avec grand étonnement que certains me réponde 8 ou 14  frères et sœurs ! L’explication se justifie par la polygamie qui reste encore présente en Afrique. Le nombre d’enfant par famille commence malgré tout à diminuer à cause de la situation politique et monétaire du pays.

Ce sont des enfants de 3 à 18 ans que j’ai rencontré notamment. Très ouvert aux activités proposés. Pour eux, c’était des choses nouvelles qui changeaient de leurs quotidiens. Ils ne connaissent pas les jeux de société, les jeux collectifs auquel nous jouons sauf peut être quelques jeux qui tournent autour du ballon.

Leurs expliqués de nouveaux jeux était donc pour ma part, un bon challenge de part leurs nombre qui variés entre 20 et 100 mais aussi par la compréhension de la langue française.  Ces enfants avaient pour habitude de jouer entre eux sans avoir de véritable règles. Il y avait donc une assimilation des consignes à avoir. Par exemple le uno, un jeu de carte avec des couleurs ils comprenaient sans trop de problème contrairement à la balle au prisonnier où ils avaient plus de mal. Ils ne sont pas habitués à jouer comme nous jouons chez nous en France. Le  sourire, la joie, les rires étaient au rendez-vous sur leurs visages dans ces  temps de jeux.

Les aînés avaient tendance à prendre le dessus, c’étaient aussi eux qui portaient sur leurs dos ceux de moins de 3 ans le plus souvent. Cela n’empêcher pas pour autant que des enfants de 5 ans portent sur leurs dos leurs petite sœur ou frère !  Ils portent les plus jeunes sur le dos à l’aide d’un tissu.

 Quand est il de l'éducation et de la maîtrise du français?

Ceux qui maîtrisaient le mieux le français étaient les scolarisés.  Il n’y a pas d’âge déterminant à un niveau de classe comme le système scolaire des pays développés. Ça dépend des moyens financiers des parents, de la vie familiale et de l’enfant lui-même. Ceux qui avaient le brevet, ou étaient  au collège ou lycée il était possible d’avoir une grande discussion  tandis que ceux qui étaient au primaire ils avaient un peu plus du mal ce qui est normal.

Beaucoup arrêtent l’école en cours de route car leurs parents n’ont pas les moyens ou parce qu’ils ont besoins d’eux aux champs. Il se peut aussi que ce soit l’enfant qui arrête de lui-même car il n’y voit pas d’intérêt ou qu’il a trouvé un autre moyen de gagner sa vie. Peu d’entre eux ont cette chance d’avoir une bourse, une aide qui les encourages dans leurs études.

  L’engagement autant chez l’enfant que l’adulte est parfois difficile de le garder dans la durée. Les filles une fois 16 ans s’intéressent plus aux garçons. Pour mon ami prêtre, il est donc difficile de trouver une fille sérieuse qui pourrait l’aider dans des actions auprès des jeunes filles tel que le guidisme.

Un mouvement en construction auquel j’ai pus donner un petit coup de main. Lorsqu’on leurs donné rendez-vous à une heure précise, elles avaient souvent 15 min ou 1h de retard, une mauvaise habitude prise dans le village selon mon ami.

Les enfants restent malgré tout pris d’intérêt par ce qu’on leurs propose comme le scoutisme qui est une école de vie, une seconde famille ou encore les journées paroissiales où là nous nous intéressons aux jeunes de 15-30 ans.  Ces deux points évoqués est sur quoi je vais m’attarder dans les articles qui vont suivre celui-ci.

Les enfants c’est l’avenir, ce sont eux les futurs grands acteurs du pays. Il ne faut pas les négliger. Ils prennent facilement exemple sur leurs ainés, son dans la fleur de l’âge de l’apprentissage et de la construction de leurs personnalité.

 Parler du Bénin ne se résume pas à quelques mots ou à un simple témoignage. Il faut parfois aller sur le terrain pour mieux comprendre. Dans le premier article "quelques informations sur le Bénin N°1" j'ai évoqué la nourriture et l'économie. Nous pouvons nous attarder un peu plus sur ces sujets.

Rappelons nous que la majoritée de la population béninoise reste proche de la nature, ont des métiers d'agriculteurs. Pour gagner leurs vie ils vendent leurs récoltes.

En effet, au bord des routes j’ai souvent vu du maïs, du manioc (qui ressemble à un tronc d’arbre de loin) vendu. Certains de ces vendeurs sont des jeunes enfants de moins de 18 ans ! Il n’y  a pas de véritable magasin comme ont en trouve dans les pays du nord. Il y a  des étales de fortunes fait en bois, ou ils  vendent a même le sol. Ou encore, il est courant de trouver aussi des aliments et matériel vendu dans des cases aux murs de terre et aux toits de paille dont l’intérieur n’est pas plus grand qu’un 12m2. Les habitants font avec le peut qu’ils ont pour rendre leurs vie vivable.

Pour éviter au maximum les vols ils marques leurs animaux pour qu’ainsi ont puisse savoir qu’ils sont à eux.
Pour aller vendre leurs produits ou aller en acheter certains bénéficie d’une moto et non une voiture car c’est au dessus de leurs moyens.  Peu d’entre eux vont au-delà du village.  On ressent à certains endroits une pauvreté aigue.

Il existe cependant, des vendeurs qui ne se contentent pas uniquement de vendre ce qu’ils ont récoltés, ils peuvent vendre du pain ou aussi du pétrole venu tout droit du Nigeria, pays voisin à celui du bénin. Cet élément là est fournit par les multiples camions qui traverse le pays. Le Nigeria, le Burkina Faso et le Niger sont des pays voisins qui ne possèdent pas de port ce qui explique la présence des camions. Pour avoir des marchandises venant de l’extérieur et ainsi s’ouvrir au monde ils doivent passer par le bénin pour accéder au port de Cotonou. Un accord fut établit avec les responsables politiques.

Dans  un des articles sur le Bénin, je parlais de voiture et de moto. En effet ce sont des moyens qui coute cher et il y a beaucoup d’habitants qui ne connaissent autre chose que leurs villages et les champs alentour. Aussi, il est bon de noter que l’état des routes se laisse à désirer, il y a beaucoup de chemins de terres avec des nids de poules et il existe qu’une  grande autoroute qui traverse tous le pays.
L’évocation du manque de moyen budgétaire est ressenti dans les infrastructures, dans l’accès à l’eau, l’électricité, la santé  et autre privilège dont nous avons la chance d’avoir.

Malgré tout cela ce sont des personnes avec un cœur chaleureux accueillant, toujours souriant pleine de joie, de curiosité  et à votre écoute. Les maisons à étage n’existe pas. Ce sont des maisons de terres et de pailles ou des maisons en bétons quelques peu salit par la poussière. Elles ne sont pas grandes. Certaines d’entre elles ont 3 pièces, d’autre 1 et pour les plus chanceux plus de 3 pièces. Chacun na donc pas sa propre chambre, un salon, une cuisine,  des toilettes etc.  Ils vivent avec peu. En allant à leurs rencontre je fus étonnée par leurs joies de vivre. Quand vous êtes invité chez eux et qu’ils ont des chaises et une télévision ils l’allume tout de suite en signe de politesse. Avoir la télévision c’est avoir accès au monde.

Lorsqu’un prêtre vient à eux, c’est l’occasion d’échanger sur certains sujets, de se faire inviter, de rigoler un peu, de régler certaines affaires. La police n’étant pas toujours disponible et les gens ne leurs faisant pas toujours confiance ils se tournent plus facilement vers les prêtres qui sont à leurs yeux paroles de vérité. Les prêtres là-bas sont beaucoup. Ils sont à la fois prêtre, éducateur, assistante sociale, médecin car ce sont des métiers qui sont notamment concentré en ville ou dans de très grande ville. Si un prêtre n’aide pas un peu financièrement il est mal vu.

On dit beaucoup de prêtre mais aussi de chômage. Un professeur de géographie m’en a fais témoignage. Pendant 3 ans il fut professeur dans une école et puis il fut du jour au lendemain au chômage et na retrouvé un poste que 6 ans plus tard. Les personnes ont pour philosophie de vivre au jour le jour car ils ne savent pas ce que peut leur réserver le lendemain matin.


Il existe cependant des aides humanitaires, mais la plupart d’entre elles  et d’autres formes d’aide se concentrent au sud du Bénin. Cela n’enlève pas pour autant la pauvreté d’un coup de baguette. Parmi cette main-forte nous retrouvons :

     « Aide mondiale ISC Paris est présente au Bénin depuis 2001 et travaille avec l’ONG Aide et Solidarité
Aide et solidarité est une ONG à but non lucratif, qui œuvre sur le plan éducatif, médical, professionnel et pour le développement local. Aide Mondiale agit dans deux orphelinats. Le premier est celui de Tokpa Domé situé à environ 100 km de Cotonou. Le second se trouve à 270 km au nord de Cotonou dans la commune de Savalou. »
    « L’Agence Française de Développement et le Bénin : miser sur la jeunesse et améliorer l’accès de tous aux services essentiels »
    « Aide écoles Bénin »


Ces aides se concentre sur les jeunes, l’éducation, la santé et l’hygiène mais aussi ce qui touche aux climats et à l’eau. Bon nombre d’entre d’elles agissent dans le sud et peu vont jusqu’au centre et encore moins dans le Nord.

Dans le prochain article le point d'attention se fera autour des enfants

A SUIVRE.....

    Mon arrivée au Bénin se fit en pleine saison  de la mousson c'est à dire le mois de juillet et d'août.  Le Bénin comme l'inde, se trouve non loin de l'équateur. Ainsi la mousson, un climat humide est chaud est attendu. C’est une première réalité qui vient à nous avec un magnifique paysage verdoyant et ses routes de couleurs ocres, rouge.

     Autre réalité qui me vint, c’est celle de l’économie du pays .
    En effet, en arrivant à l’aéroport, il est intéressant de changer l’euro contre le franc CFA. Un échange qui est utile si nous souhaitons  faire des achats dans le pays, où si nous voulons manger, se loger etc. C’est par cette transaction que nous commençons à saisir la valeur monétaire et la vie de la population du pays. Là-bas 1€ c’est l’équivalent de 650 francs CFA.  Cela veut rien dire aux premiers abords. C’est en allant à la rencontre des habitants que nous comprenons mieux encore.

La valeur de la vie économique ici au Bénin n’est pas la même.
     En effet, beaucoup de personnes vivent dans la grande pauvreté en comparaison à d’autre qui ont réussi à  gagner de l’argent  de façon déshonorable ou d’autre encore qui ont réussi à vivre de leur métier.  
Aussi, la majorité des habitants sont des agriculteurs et leurs salaires mensuels varie entre 200 et 1000 francs CFA.
En comparaison du coût du matériel, de certaines marchandises, médicale etc. C’est très peu. Avec l’argent qu’ils gagnent il y a des choses auquel ils n’ont pas accès.
     Quand je suis venue aux enfants avec tout le matériel nécessaire pour mener à bien les activités, j’avais cette impression de leurs apporter un véritable trésor alors qu'a mes yeux ce n’était pas grand choses.

    Avoir une voiture est signe de grande richesse, manger des légumes pareil, avoir de l’eau au robinet et de l’électricité  à volonté aussi ! On ne réalise pas assez la chance que nous avons de vivre dans des pays tel que la France, en Europe…
Beaucoup ont des maladies plus ou moins grave, des accidents mais ne vont pas à l’hôpital car c’est souvent loin mais aussi très cher : 50 000 francs soit 77€ ce qui est l’équivalent de 2 à 4 mois de salaire pour un prêtre et bien plus pour un agriculteur !

La population est majoritairement agricultrice. Ainsi, un grand nombre des villageois  partent très tôt aux champs le matin. Ils font tout à  la main car ils n’ont pas le matériel nécessaire comme dans les pays développés.
     Ils mangent se qu’ils cultivent ou se qui est à un prix accessible. C’est-à-dire du maïs, le manioc, pâte, pomme de terre, rit et viande provenant soi du marché ou de leurs animaux domestique (des chèvres, des moutons, des poules et quelque fois des vaches). Les légumes d’une façon majoritaire comme certains fruits  sont des aliments dit pour les riches à cause de leurs prix inaccessible.

Les plats populaires :
Le premier est certainement la pâte de maïs qui est plus compacte et lourde que la polenta. Si vous en mangez, il y a des chances que vous rencontrez quelques problèmes de digestion. Une fois on ma raconté qu’un européen c’était aventuré à en manger. Suite à ce fameux repas, il a passé les deux jours suivant au lit. Une anecdote qui d’ailleurs faisait bien rire les habitants de Igbéré. Cela reste un plat très mangé parmi les villageois. Il y a aussi la purée de manioc, ou le maïs qui sont souvent mangés avec un peu de viande et des bananes. Ce sont des plats qui tiennent bien l’estomac.
    Le rit pour certains c’est uniquement un plat de fête. Pendant longtemps la chasse et de braconnage ont existés. Le braconnage perdure encore aujourd’hui menant à faire disparaître du pays des animaux tel que certaines races de singes comme celui du chimpanzé, certain crocodile. Ce n’est pas uniquement la faune qui est menacée mais aussi la flore. C’est pour cela que des gardes veille au respect de la faune et de la flore. Une problématique délicate en ce qui concerne l’eau et le bois quand ont sais que peu de monde ont accès facilement à l’électricité et à l’eau.

Par l'économie et la nourriture on commence ainsi à mieux cerner le mode de vie au Bénin.

A SUIVRE ....

Avant de s'élancer dans un long récit autour d'un voyage au Bénin, voici quelques informations récoltées tout au long du voyage. C'est un pays du continent africain qui se situe plus précisément sur la côte Ouest, entouré du Togo, du Burkina-faso et du Nigeria.

 En ce qui concerne la population, il est difficile d'être précis  car le recensement coûte beaucoup d'argent, demande toute une organisation administrative qui n'existe que dans les grandes villes. Il faut compter au minimum 10 000 habitants à travers tout le pays.

 En ce qui concerne le climat : Le Bénin étant non loin de l'Équateur le climat se résume à deux  saisons : la saison sèche et la saison des pluies. Les paysages traversés sont essentiellement constitués  de la brousse et d'une  terre rouge/ocre  (C'est une terre argileuse et siliceuse avec des pincées de fer).

Trois villes sont importantes  dans le fonctionnement du pays, trois piliers :

Porto novo, la capitale politique qui est reconnue mondialement, non loin de Cotonou.

Cotonou pour son économie. Cette capitale est aussi reconnue mondialement. C'est une ville mais aussi un port où les échanges commerciaux sont important. Elle accueille  par ailleurs un marché dont la superficie est l'équivalent d'une ville. Une ville impressionnante.

Abomey pour l'histoire. Ancienne capitale du royaume de Dahomey qui fut fondée en 1625. Les palais d’Abomey fournissent le témoignage exceptionnel d'un royaume disparu.

La politique et l'argent en quelques mots  : Pendant longtemps comme beaucoup de pays africains, le Bénin a connu es temps de la colonisation. Ici c'était une colonie Française. Pourquoi "c'était" ? Car le 1 er août 1960, le pays a gagné son indépendance. Les douze premières années furent marquées par une instabilité chronique, les anciennes élites coloniales, pour la plupart originaires du Sud, se disputèrent le pouvoir. On dit souvent une fois là-bas qu'après un long chemin politique, beaucoup d'argent s'est faufilé dans les poches de certaines personnes rendant ainsi le reste de la population pauvre.

En cette année 2018, j'ai  eu la chance  d'aller deux semaines au Bénin. Un voyage durant lequel j'ai pu acquérir encore plus d'informations au travers de quelques belles rencontres. Les informations qu'on peut trouver sur internet ou dans des livres ne sont pas perçues de la même façon qu'en étant sur le terrain.

C'est le 31 juillet, à 4h du matin que mon avion a atterri à Cotonou.

Ce fut au cours de l'année scolaire que l'idée de partir au Bénin à la rencontre d'un ami pour lui venir en aide vint à mon esprit.  Je voulais me rendre utile, faire de l'humanitaire.Ce projet fut évidemment parler, partager autour de moi car cela ne se réalise pas en un claquement de doigt !

- Un voyage humanitaire alors Maya. Cela demande de l'organisation avait dit maman.

- En effet, cela ne fais aucun doute !

Au cours des semaines qui suivirent, le projet s'éclaircit à travers de multiples échanges dont quelques unes avec mon ami qui m'accueil chez lui au Bénin. Durant ce séjour dans ce beau pays d'Afrique, j'allais partir m'occuper d'enfants souhaitant faire partie du scoutisme  dans le village d'Igbéré et de Manigri. Ces deux villages se trouve dans le centre nord du Bénin. Tout un programme finit ainsi par s'établir.

Mais j'ignorais bien encore ce qui m'attendait là-bas et tout ce qui concerne exactement le Bénin. Ça donne un peu l'image de cette touriste mal informée qui veut venir en aide .

Le départ s'annonnce le 31 juillet 2018 pour revenir  le 13 août en France . Étant donné qu'il y a un but précis à ce voyage, autant ne pas partir à la rencontre des enfants les mains vides et sans support constructifs.

Ainsi l'aventure commence à mon arrivée au pays le 31 juillet dans la capitale du Bénin qu'est Cotounou.