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la plume rebelle
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25 septembre 2016

témoignage JMJ

Bonjour tous le monde !

Après deux mois de vacances extraordinaires, la Petite Plume Rebelle revient en force !Aujourd'hui, j’ai décidé d’écrire sur un moment très particulier de mon année 2016 : les JMJ. Vous me direz : mais de quoi parle-t-elle ?! Des Journées Mondiales de La Jeunesse, bien sûr !

logoTous les trois ans, le Pape appelle tous les jeunes catholiques du monde entier à se rassembler pour témoigner de leur Foi pendant quelques jours. Cette année, le Pape François nous a donné rendez-vous à Cracovie, le pays natal du Pape Saint Jean-Paul II. Encore mieux qu’un témoignage, j’aimerais vous parler surtout de cette expérience qui m’a bouleversé, a gravé des souvenirs inoubliables et dévoilé une partie de moi insoupçonnée. Permettez-moi de remonter quelques mois en arrière pour poser le décor. 

 

Au mois d’octobre 2015, le mot JMJ est apparu sur les lèvres de certains élèves de mon lycée. Pour moi, cela ne voulait rien dire, je n’y ai pas prêté attention. Puis, des photos des derniers JMJ à Rio en 2013 ont circulé et j’ai été captivé par la joie immense qui se dessinait sur les visages. Etant catholique grâce à mes parents mais sans grande conviction, je me suis dis : pourquoi pas moi ? Au pire, je ferais un beau voyage et je rencontrerais d’autres jeunes de mon âge de différents pays et cultures. Que du bonus !Pour en rajouter une couche, la Pastorale du lycée nous déroula tout l’historique des JMJ. (Est-il nécessaire de faire un autre article ? Tu peux très bien insérer l’historique dans celui-ci.) J’étais déjà convaincue ! Les mois qui ont suivi, je préparais un voyage en Pologne alors qu’au fond de mon cœur, le Seigneur oeuvrait déjà sur un road trip beaucoup plus grand. 

 

Le Grand Départ

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Le 15 juillet 2016, à Bourg en Bresse, des centaines de jeunes du Diocèse Belley-Ars piaffaient d’impatience autour des cars. Les organisateurs nous avaient promis du tourisme avant le grand rassemblement autour du Pape François. Nous étions ravis, nous partions en Pologne ! Avant tous ces beaux projets, vingt heures de route nous attendaient, l’enfer ! J’avais prévu un iPod saturé de musiques pour tenir des heures entières ! 

 

Première surprise : mes écouteurs n’ont pas touché mes oreilles ! Surmontant ma timidité, je suis allée naturellement vers les autres et de nouvelles amitiés ont commencé à se créer sur un fond de paysages français, allemands, tchèques et polonais. Nous étions des petits groupes de huit jeunes accompagnés d’un responsable. Le nôtre était exceptionnel ! Père Vincent Poitau dont l’humour a égayé ces JMJ et fut un des piliers de mon voyage. A cette équipe se rajoutait Monseigneur Roland, notre évêque, des séminaristes plein d’entrain, des sœurs dominicaines et six prêtres ! Jamais je n’avais été autant entourée de clergé !

 

- Programme des JMJ 2016

 

 

 

 

15 juillet

Grand Départ à Bourg-en-Bresse sur la Place

16 juillet

Visite de Prague, capitale de la République Tchèque

17 juillet

Départ pour la Pologne et visite d’Auschwitz

18 juillet

Visite de Cracovie, capitale de la Pologne et Wadowice

19 juillet

Marche vers Czestochowa au sanctuaire de Jasana Gora

20 juillet

Visite de la Mine de Sel de Velioska

Du 20 au 25 juillet

Première famille d’accueil  à Brzeg

Du 25 au 31 juillet

Deuxième famille d’accueil

30/31 juillet

Le Festival de la Jeunesse avec le Saint Père

31 juillet

Retour en France avec un arrêt en Alsace

Des lieux poignants

 1- Auwchwitz

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Après deux jours de voyage,en passant par Prague dans une résidence étudiante pour une deux nuits,  le 17 juillet 2016, notre car s’est arrêté devant les portes d’Auschwitz.

En foulant les pieds de cette terre chargée d’Histoire mais surtout d’horreurs, une immense émotion me submergea. Des hommes, des femmes et des enfants avait péri ici sous le joug de la cruauté de leurs semblables.

Auschwitz est le plus grand camp du troisième Reich, à la fois camp de concentration et d’extermination. Il est situé sur les territoires des localités d’Auschwitz et de Brikenau, annexés au Reich après l’invasion de la Pologne par les Nazis.  Créé le 27 avril 1940 par Henrich Himmer et libéré par l’Armée Rouge cinq après, plus d’un million de personnes moururent à Auschwitz dont 90% étaient juives. En raison de sa taille, ce camp de la mort est considéré comme le symbole des meurtres en masse commis par les nazis. 

 

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Passionnée d’Histoire, c’était autrement plus fort de la vivre en vrai que dans des livres. En silence, j’ai rendu hommage à tous ses frères tombés pour la paix dans le monde et accompli mon devoir de mémoire. Malgré la torpeur, des émotions de toutes sortes explosaient à l’intérieur de moi : de la colère face à la cruauté, de la tristesse face à l’atrocité et de la compassion face à la douleur. L'endroit très représentatif de l'enfer humain selon moins mais aussi d'amour infini car toutes ces victimes se sont serrées les coudes , leur Foi, l'amour des uns et des autres l'entraide leurs permettaient de tenir. On retrouve ce message d'entraine dans les quelques rescapés des camps. Il est très difficile de ne pas en sortir inchangé après cette visite. C'est au cours de cette visite que Dieu est venu toquer à ma porte.

Que plus jamais l’Histoire soit tâchée du sang des hommes. Aujourd’hui, sans distinction de race, de genre, de nationalité, nous, les jeunes, nous devons porter le flambeau de ceux qui sont morts pour la paix et d’être, à notre tour, des artisans de paix.

 

 

 

 

 

 

 

II - Czestochowa (Le Sanctuaire de Jasna Góra) - Apprenons à nous extasier des Grâces du Seigneur !

 

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  Après du tourisme dans Prague et Auschwitz, nous nous lançons dans l’ascension du Sanctuaire de Jasna Góra, lieu de pèlerinage important en Pologne où il y a le tableau de la Vierge Noire de Czestochowa. Icône peinte par Saint Luc, le visage de Marie s’est noirci au fil du temps. Sur sa joue gauche, deux balafres rappellent le pillage de 1430 par des bandits le jour de Pâques. Nous pouvons retrouver de nombreuses reproductions à travers le monde.

 

En rentrant dans la chapelle, j’ai été surprise d’apercevoir sur les murs, des béquilles, des prothèses, chapelets et d’autres objets de pèlerins qui ont été guéri par Marie. Comme quoi, la force de la prière peut tout !

 

Différents papes sont venus ce recueillir ici tels que Saint Jean-Paul II, Benoît XVI et le Pape François. Paul II a même déposé sa ceinture tâchée de sang qui, miraculeusement, saigne encore.Du temps que j’ai passé dans cet endroit, j’ai été touché par la sérénité qu’il dégageait et impressionnée par l’histoire qu’il l’habitait. Je me sentais tellement petite devant la grandeur du Christ !

 

Au cours d’une méditation, je me suis rendue compte que la Vierge Noire était tout à fait représentative de la Miséricorde infinie de Dieu. La foi n’a pas de couleur et touche tout le monde. Il se révèle à tous ! A nous de savoir quoi en faire !

 



 

III  - Brzeg - Osons sortir des sentiers battus à la rencontre des polonais !

 

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Le 21 juillet 2016, notre chauffeur nous a déposé à Brzeg, ville de Pologne du même gabarit que Bourg en Bresse, où nous allions passer quatre jours dans des familles locales. J’avais déjà entendu que les polonais avaient un grand sens de l’hospitalité mais pas de la galanterie ! Des hommes, même d’un certain âge, se sont précipités sur les bagages de mes amies, il était hors de question que des femmes portent de lourds sacs ! La gente masculine française a beaucoup à apprendre des polonais !

 

 Quelques différences m’ont marqué pendant ce séjour. Dans les pays de l’Europe du Nord et de l’Est, la bière et la vodka sont des boissons courantes consommées régulièrement. Un peu fort pour moi !

 

Le niveau de vie est moins élevé qu’en France (1 € = 4,5 Zlotys, monnaie du pays). Pour eux, nous étions des personnes riches et ce décalage est étrange à ressentir parce que je ne m’étais jamais vraiment considéré comme une jeune privilégiée.

 

De plus, la foi qui les anime est encore fortement teintée du cri de résistance face à l’occupation allemande et communiste des années 1940. Au cours d’un weekend, il y a cinq à sept offices où la plus part y assistent. Alors que nous, pauvres français païens, nous trainons les pieds pour aller une fois par semaine à la messe !

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La messe est célébrée tous les soirs à 21H pendant la semaine et parfois, même le matin à 9H. Les polonais communient exclusivement avec la bouche car les mains sont considérées comme impures à recueillir l’ostie consacrée.

 

J’ai aussi appris, en passant du temps auprès de ma famille d’accueil, que la fête de Saint Nicolas, le 6 décembre, est aussi importante que l’Epiphanie. Ils écrivent encore une lettre au Père Noël pour avoir des cadeaux !

 

 J’ai remarqué que la famille était une valeur primordiale en Pologne. Au moins une fois par semaine, les parents rassemblent les enfants autour d’un barbecue et nous, étrangers, ils nous ont accueilli comme si nous étions leurs propres enfants ! Ils nous ont gavé de denrées ! Nous avions cinq repas par jour : un brunch bien garni, la pause café remplaçait le déjeuner de midi, un nouveau repas à 15H et le diner à 21H. J’ai pris cinq kilos en quatre jours ! J’étais sûr de ne pas mourir de faim !

 

 

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Le polonais étant un langue de racines germaniques, c’était compliqué de déchiffrer les conversations. Les habitants s’exprimaient aussi en allemand et en russe. Que des langues que je ne maîtrise pas ! Heureusement que les enfants parlaient anglais ! On avait aussi des traducteurs !

 

On priaient partagés des temps avec nos familles d'accueil mais ont faisaient des activités et assistés à deux grand festivals. En effet, ont est allés voir des handicapés et malgré nos problèmes de communications ils débordés de joie et d'amour de nous voir. Le fait que nous soyons venu les voir , qu'on leurs souriaient...des gestes gestes simple, une petite marque d'attention les comblés de bonheurs!

 

Ils nous ont fait danser dont la fameuse danse des canards de quoi rire un bon moment ! Tous le monde s'y prêtaient au jeu même nos prêtres, séminaristes, soeurs dominicaines et nôtre évêque!! Nous leurs avons offert un drap blanc écrit belley ars avec toutes nos mains aux couleurs des JMJ dessus : bleu, jaune, rouge. On a eus deux festivals de la musique dont un a Brzeg où l'on à rencontrés des équatoriens, italiens et coréens.

 

Les JMJ sont l'occasion de sortir de sa zone de confort et d’oser ! Jamais je n’aurais imaginé un jour apprendre à danser quelques pas de rock à un séminariste ni de faire la fête avec des prêtres et même Monseigneur ROLAND, l’évêque., ou encore danser avec des prêtres polonais et français confondu . Je me suis fais aussi porter sur les épaules d'un prêtre pendant une demis- heure par ce que vôtre cheville à fait défaut et fais un selfie avec tous les membres de l'Église qui accompagnait nôtre diocèse!! 

 



 

IV- Cracovie (Le festival de la Jeunesse) - Jeunes du monde entier, exultons pour un même Dieu d’Amour !

 

 

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Ces deux jours furent la fin des JMJ mais aussi le moment où tous les Jeunes étaient réuni au complet une dernière fois avec le Pape François. Nous étions prés de 2 millions de jeunes dans le lieu baptise Campus Misericordiae à 11 km à pied de Cracovie où tous le monde étaient reparti sur des terrains . Ces deux jours furent rythmes par d’abords un temps de témoignage avec par exemple celui des sœurs venue tout droit de Syrie et d’Égypte nous parler de Miséricorde, de pardon , d'amour du christ. Aussi de temps liturgique, de messes , des prières des prêtres et enfin un concert le soir et même chose le lendemain mais avec l'annonce et l’invitation au prochains JMJ par le Pape Jean-Paul 2.

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Ce qui étais très beau c'est que nous étions tous des jeunes venue du quatre coin du monde, tous avec sa propre culture et langue et pourtant nous avions maigres tout une autre langue en commun et les même valeurs : nôtre foi ! C'est cela qui était beau, chacun respectes la prière de l'autre on nageaient dans un havre de paix, et joie et de fraternité dans la Foi. Rien avoir avec le monde en dehors de ces JMJ ou la religion semblait être une source de chaos pour certains, la religion ne doit pas nous diviser mais nous rassembler ! Les chants de prirers, de messes étaient magnifique chantés par une chorale on se sentaient portés par les mots tous en communion dans la prière, mon seul regret c'st que nous captons pas bien la radio qui traduisait l'homélie du pape François. . Le temps de l'adoration commença au coucher de soleil pas un bruit se faisait entendre ce qui était totalement impressionnant du par le nombre que nous étions ! Là ou nous étions nous avions des Irlandais, Italiens et espagnols qui nous entourés, ils sont réputés pour leurs côtés festif et bien pas une mouche volée. Le chant des prêtres étaient incroyable on aurait dit une assemblée d'ange qui portés le message de Dieu à travers tout l'espace qui nous entourés. Bien que la nuit fut écourtées par de magnifiques concerts dont celui de la sœur Cistina qui a fait The Voice en Italie et la veillée avec les bougies, nous avons tous très bien dormi

 

 

 

 

VI - Les homélies du Pape François - Ecoutons l’enseignement du Christ !

 

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Imaginez Cracovie envahie par des milliers de jeunes venus des quatre coins du monde écouter le Pape François !Ce qui était étonnant, c'est que chaque personne se disait bonjour comme si elle se connaissait depuis longtemps et qu’elles se retrouvaient après deux mois de vacances.

 

Depuis le 21 juillet, les JMJ ont été officiellement lancés, il ne manquait plus qu'une chose : le Pape !

 

Les transports en communs étaient souvent bondés, ce n’était pas facile de se déplacer dans Cracovie. Le Pape arriva dans la capitale à quatre heure du matin, la sécurité barra les rues, on ne pouvait plus bouger ! La foule se faisait plus compact, les volontaires dont on retrouvés des scouts d'Europe s'empressaient à nous aider trouver un chemin vers les terrains qui nous étaient assigné par le biais d'un billet longuement réservé à l'avance. La pluie nous accueillit aussi à bras ouvert mais disparaissait dans un coin dès que le Pape fit son entrée. Dans chaque secteur ou nous étions répartis se tenait un immense écran d'ou nous était retranscrit en direct l'homélie du Pape ainsi que les témoignages, les temps liturgique et les chansons interprété par une immense chorale. Le seul moment où je fus absente était lors de la procession de la croix faute de fièvre. D'après ce qu'il en fut dit c'était magnifique et très émouvant.

 

Pour comprendre se que le pape nous disait on avait des radios ou l'on nous traduisait ses homélies mais ça passait très mal . Ce que j'en est retenu : Jean-Paul 2 à donné naissance à ce mouvements pour célébrer Jésus qui est vivant au milieu de nous ! De renouveler ce désir de le suivre ! A resserrer les liens entre nous ! Que Dieu est miséricorde, qu'il est amour.

 

«  Heureux ceux qui savent pardonner, qui savent avoir un cœur compatissant, qui savent donner le meilleur aux autres ; le meilleur, non les restes : le meilleur » pape François

 

Le pape François à aussi dit « Pour suivre Jésus, il faut avoir une dose de courage, il faut se décider à changer le divan contre une paire de chaussures qui t'aideront à marcher. Sur des routes jamais rêvées et même pas imaginées, sur des routes qui peuvent ouvrir de nouveaux horizons! » . Il nous encourageait à témoigner à sortir de nôtre confort et d'aller à la rencontre des autres, du seigneur, de se donner aux autres. Je pris ses mots à la lettre.

 

 Au final....

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Avec mon diocèse, nous avons visité des lieux marquants qui nous ont fait avancer peu à peu sur le chemin de la miséricorde, nous amener à rencontrer le Seigneur de manière plus concrète en dehors de notre paroisse et des aumôneries, entourés de jeunes de notre âge. Notre foi était portée par chacun de nous, nous formions à nous tous une seule et même famille qui malgré certaines différences partageons une même foi et même valeurs.

 

 

 

Dans tous ces JMJ les moments de joies étaient mit en avant par des de partages, de rencontres, de communions avec d’autres jeunes ! Grâce aussi à des temps de réflexions et de prières profondes, j’ai construit un lien particulier avec le Seigneur et j’ai pu réaffirmer mon engagement, plus concret, au service de l’Eglise. Si vous êtes venu aux JMJ pour faire des grasses matinées vous vous êtes trompés de route ! On dormaient peu, avez de la nourriture digne d’un restaurant cinq étoile (ironie) et gambader sous une chaleur pesant ! Mais malgré cela, nous débordons d’énergie et de joie qui contaminait quiconque se trouvait dans un rayon de un mètre. Lorsque nous rencontrions d’autres jeunes c’était la fête ça chantait , dansait et priait d’une seule et même voix . Une bonne ambiance de groupe en résumé. Un chant entrainait un autre.

 

Nous étions bien accueilli par les Polonais très réputés pour leur accueil chaleureux.

 

Les temps de communion aussi étaient important : les temps de Cathé , de méditation autour de la parole de Jésus et les temps de Messes. Après la messe il est fréquent d'avoir un temps d'adoration en Pologne , d'avoir 5 à 7 cérémonies le samedi et le dimanche dans les petites communautés notamment ou les paroissiens peuvent choisir leurs messes, et heures. C'était assez impressionnant de voir a quel point la Foi Catholique est présente! Dans tous cela j'en est ressortit une petite devise « Joie, Foi et bonne humeur ! »

 

En deux semaines en permanence avec les jeunes de votre paroisse vous avez impression de les connaître depuis deux mois, le temps passe vite. J'ai découvert/ rencontrée une deuxième famille : les Jmjistes de Belley-Ars à même tous les Chrétiens.

 

 

 

 On en sort changé de ses JMJ, une envie d'affirmer plus ma Foi c'est pourquoi j'ai décider de m'engager à témoigner autour de moi sur ces journées mondiales de la jeunesse mais aussi de donner des cours de Cathé à des jeunes primaire et à être cheftaine de dans les Scouts d'Europe .

 



 

 

 

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